Au bord de la zone rouge, Sochaux débute sa crise. Ce vendredi, les Sochaliens ont été laminés par Créteil (0-3) à Bonal. De quoi faire sortir du silence le nouveau directeur général du club, Ilja Kaenzig :
« Au fond, cette situation a un côté idéal car elle va nous donner l’occasion d’affronter tous les problèmes liés au club et dont certains sont encore cachés. On va tâcher de les résoudre l’un après l’autre. Il faut absolument, à partir d’aujourd’hui, recréer une base saine pour lancer le projet. J’espère qu’on a fini de toucher le fond… […] On a tout essayé avec le stage, c’était dans notre obligation, mais ça ne suffit pas. Bien sûr, dans l’absolu, on espérait tous voir une réaction. On voulait forcer la chance. Maintenant, on peut voir deux options. Gagner peu à peu des matchs et se sortir de la crise, comme l’équipe l’a fait en 2014. L’autre vision, c’est recommencer tout à zéro et vraiment prendre des mesures dures. Peut-être qu’il faut le faire. Il faut analyser, peser tout ça avec grande précision. Ces mesures seraient forcément plus radicales que celles qu’on a prises jusqu’à maintenant. »
On pense notamment à l’éviction d’Olivier Echouafni. Mais Ilja Kaenzig ne veut pas en entendre parler pour le moment : « L’entraîneur n’est pas « le » problème ou « un » problème. Ce n’est pas lui qui est sur le terrain. Il faut prendre tout dans son ensemble. Les gens parlent sur lui, c’est normal. Lui-même connaît très bien le métier, comme entraîneur mais surtout comme grand joueur par le passé. Il est normal que dans une crise, les gens, les médias se posent la question de son maintien en poste. C’est lui le chef de l’équipe. »
Source : L’Est Républicain
bien sur que ce n'est pas Echouafni le responsable..... ce sont les joueurs , et rien que les joueurs ! meme si dans Echouafni il y a ....Echoua....